Premier cour.

Ange était anxieuse. Elle n'avait plus donner de cour depuis un moment. et c'était le sien qui débutait juste après les fètes. Elle avait arrangé la salle de classe à sa manière.

Les grandes et hautes fenêtres étaient fermées, cachées par d'énorme tenture noire. Au centre de la piéce elle avait placé un coffre de bois sombre, le socran se tenait dessus jouant avec la serrure. Autours du coffre, une ronde de coussin était installé pour les élèves.

Les bougies flottaient au plafond pour éclairer la pièce un peu trop grande à son goût. Un des tableaux se mit à chantonner un air un peu trop gai pour des enfants
-Vicomte Van Halen je vous en prie. Le portrait la regarda et rougit. Si vous chantez encore une chanson paillarde je vous promet de vous lever de ma salle de cour.
-Ce n'est pas sa faute ma fille. Le vicomte a toujours été ainsi. Ange se retourna vers le portait de son oncle, un grand homme brun la regadait. Elle lui sourit. Je t'avais pourtant dit d'enlever ce portrait! Ange sourit et décrocha son oncle du mur. MAis....
-Tu n'as pas droit de dire à T'chulak de t'accrocher dans la salle. Ange alla ranger le tableau de son oncle dans son bureau. il ne vallait mieu pas qu'il l'observe travailler, le portrait l'aurait déconcentrer. Elle revint alors et décrocha le vicomte. Elle lui signifia de se taire et alla le ranger dans le burau.

Ange retourna dans la pièce de cour et sortant sa baguette elle inscrivit en lettre violette dans l'air:

Elle veilla à ne pas réveler desuite le sujet du cour.

Ange resta silencieuse avant de répondre le plus naturellement du monde.

-Un détraqueur. POur le moment vous ne sentez pas sa présence. Le coffre dans lequel il est enchainé est ensorcelé, les coussins sur lesquel vous êtes assis sont a distance suffisante pour qu'il ne puisse pas vous atteindre et grâce à mon enchantement il ne pourra pas s'en prendre à vous. souria-t-elle

Ange vérifia l'heure, les autres élèves étaient en retard. Cela n'était pas un bon point pour eux.
Elle posa son regard sur les deux élèves et leur souffla.
-nous allons commencer.

La forme de son patronus? Ange sourit.
Elle leva sa baguette et prononça :
Expecto Patronum.

Sa baguette fut tiraillé de mouvement incertain et comme si la créature voulait s'échapper de la baguette sortit un dragon, un magyar à pointe précisément. Le dragon s'extirpa de la baguette dans cette couleur argentée du patronum, il vola, serré dans la pièce et s'abattit sur Ange, la gueule grande ouverte pour disparaître dans une volute.
Le professeur rit doucement.

Ange sourit.
-Oh non je te rassure. Ange fit tourner sa baguette dans ses mains. En fait, cela dépent de tes origines aussi. Etant muse par ma grand mère, je déborde un peu dans mes sorts. Elle haussa les épaules. C'est un petit inconvénient.

-oUi de notre caractère aussi.
Ange soupira. Les autres élèves n'assisteraient pas à son cour. D'un coup de baguette les portes se fermèrent.
-bien. Le professeur lança sa baguette en l'air et celle ci écrivit dans l'air en lettre bleuté sous la dictée de Ange.
Le patronus dépend de votre sentiment à trouver le bonheur. Plus vous pourrez être heureux plus votre patronus sera brillant. Il dépend de votre caractère, de vos sentiments...;
Le détraqueur qui subit le patronus ressent ce que vous ressentez lorsqu'il s'approche de vous. On lui ôte toute sa déprime. plaisanta-t-elle.